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L'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | VideL'appel de l'estomac | libre | Vide
 

 L'appel de l'estomac | libre |

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L'appel de l'estomac | libre | Vide
MessageSujet: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeSam 8 Nov - 13:22

Une fraîche matinée arriva sur l'île de Saint Thomas, où il ne faisait pas bon vivre en ce moment. Lulubeth en était consciente et le sentait malgré sa petitesse qui pouvait la rendre fragile. Toujours accompagnée de sa peluche Spinel, elle parcourait les rues à la recherche de nourriture. Cela faisait une heure que son estomac grondait à n'en plus pouvoir, lui sommant de lui donner de quoi le contenter. Ses borborygmes étaient menaçants, et auraient pu réveiller tout le voisinage si on avait placé un mégaphone près du ventre de la demoiselle. Il fallait croire que la croissance ne l'aidait pas à vivre simplement, et que tout était prétexte à voler un peu de nourriture. Malheureusement, à une heure aussi matinale, la pâtisserie n'était pas ouverte, et la boulangère devait probablement dormir. Ce qui sous-entendait que tous les commerces étaient fermés à double tour, et qu'il n'y avait aucune raison qu'ils ne s'ouvrent pour ses beaux yeux. Alors, la fillette aux yeux azuréens et à la chevelure dorée, tel un soleil scintillant en période estivale, foula une fois de plus les nombreuses rues qu'elle connaissait par coeur. Elle avait délaissé l'église, dans l'espoir de trouver un endroit plus chaleureux et plus convivial, où elle pourrait se reposer sans craindre de tomber nez à nez avec un malfaiteur.

Il était normal pour une enfant de chercher un peu de réconfort. Cet ostracisme dont elle était la cible ne faisait qu'accroitre sa peur, et elle ne se sentait plus protégée. Killian ne serait pas toujours là pour la protéger, et elle attendait impatiemment qu'ils soient suffisamment grands pour se marier, et peut-être s'en aller de cette fichue île qui ne lui avait rien donné de bon. Depuis sa naissance, il ne lui arrivait que des tuiles, alors comment pouvait-elle espérer avoir un avenir plus florissant ? Pauvre enfant qui ne savait plus où elle en était ! Serrant sa peluche contre elle, elle subissait les effets d'une malnutrition qui pourrait lui coûter cher, d'un moment à l'autre. Alors, mordillant l'oreille droite de Spinel, elle essaya de se consoler ainsi jusqu'à ce qu'une bâtisse éveilla son attention. Toute de bois conçue, il s'agissait d'une auberge comme l'indiquait la plaque prévue à cet effet. L'oreille toute baveuse de Spinel, cessa d'être harcelée par des coups de dent nerveux de la part de sa maîtresse. Une auberge. Voilà qui était intéressant ! Et puis, elle ne devait pas être fermée continuellement, contrairement aux autres commerces ! Hmm ! Et quelle était cette bonne odeur de pain chauffé qui parvenait jusqu'à ses narines, la flagrance s'évadant d'une fenêtre entrouverte, correspondant probablement à celle des cuisines ? L'aubergiste devait certainement concocter un petit déjeuner royal pour ses clients, et elle voulait en profiter, quitte à passer pour une voleuse professionnelle. Voler pour survivre, elle n'avait pas le choix.


" Mangeeeer ! "

Et tel un somnambule, bras brandis droit devant elle, Lulu s'approcha de la porte d'entrée de l'auberge qui céda sous le poids de ses menottes abaissant la poignet. Un grincement sinistre retentit dans un couloir d'entrée, où des cierges disposés de part et d'autre offraient une ambiance apaisante à la pièce. L'enfant fut enthousiasmée par cette découverte, alors que ses joues et son nez étaient rougis par le froid. La pâleur de sa peau contrastait avec la noirceur des lieux, et donnait l'impression d'avoir affaire à un fantôme. Néanmoins, il ne s'agissait que d'un chérubin qui avait atrocement faim. Le grognement de son ventre retentit, alors que l'odeur du pain cuit au four caressa davantage ses narines, grandement dilatées pour réceptionner une telle senteur.

" Le chat il sait ! Il sait qu'on va se régaler ! "

Une langue gourmande passa sur sa lèvre inférieure, tandis qu'elle s'approchait des dites cuisines. Là, elle aperçut des corbeilles remplies de tranches de pain tout juste sorties du four, tandis que des brioches dorées étaient disposées non loin de là. Emerveillée par une telle découverte, elle aperçut ces gros morceaux de sucre comme elle les aimait, et goba une brioche. Le sucre croustilla sous ses dents, avides de nourriture convenable ! Au moins, ça lui changerait de l'ostie, qu'elle prenait durant les messes ! Trop heureuse de se gaver jusqu'à pas d'heure, elle s'appropria la majeure partie des productions de pain et de brioches, qui étaient normalement destinées à la clientèle de l'auberge. Absorbée par ce plaisir dont elle se délectait, elle se montra plus vorace que jamais, et n'entendit point des pas menaçants s'approcher dangereusement d'elle.
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Aymar
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeVen 21 Nov - 15:35

-bien que se soit libre comme sujet je me sens obligé de répondre-

Je m'était lever tôt ce matin j'était en forme. Abygaël me permettait de faire des nuits un peu plus longue. Mais après cette accumulation de sommeil je me trouvais en pleine forme. Alors je prit la résolution de faire des pains a sésames, d'autres au raisins et a la cannel et encore des brioche a la fleur d'orangée. Les pains un fois sortis du four dégagère en plus de l'odeur au combien savoureuse une chaleur insurmontable. Je baissa le feu du bacon rangit le lait dans la cave pour le garder au lait. Mais l'envie soudaine, insurmontable, préssante et obligatoire d'aller lire un livre. posé dérrière mon comptoire assis tranquilement sur une chaise mise a disposition je fut plonger dans un monde enfin calme... les évènement qui me sont arrivé dernièrement furent risqué dangereux et peu plaisant. Enfin une petite routine qui me laissait croulé dans une monotonnie ennuyeuse et confortable...

Il était enfin l'heure de mettre en place le service Guren ne devrait pas tarder a arriver, elle doit ètre en cuisine même, du moins j'epère. M'approchant de la cuisine j'entandais des bruits comme si un chien était en train de faire festin... J'ouvris la porte doucement sortit mon couteau dans le doute... Puis le rangea une silhouète fébrile était en train de dévorer tout mon travail de la matinnée, partager entre une colère abyssale et la pitiée...

Finalement je choisis la pitiée pour soulever par le col l'enfant. C'était lulubeth une petite fille qui parcourait la rue souvent collé a l'autre morpion de Killian, je la regardais droit dans les yeux. Et sur le coup c'est la pitiée qui réaparus dans mon regard elle était maigre et affammée... que faire ?

-« Vois-tu petit monstre j'hésite sur ton sort je te cache pas le fait que dans certaines condition pour ce préjudice tu serais pendut par les pied pendant un long moment ou alors des coup de fouets... Je ne peux pas te laissé partir comme ça ! »

je voulais faire comprendre à cette gamine que je ne me voyais pas l'aquité alors je resorti mon couteau pour me gratter le menton avec, j'avais oublier de me raser ce matin en plus...
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeSam 22 Nov - 12:23

[ Merci ! ^^' ]

Brioche à la fleur d’orangée par-ci, pain au sésame par là, tout passa dans l’estomac de l’affamée qui aurait pu mourir de malnutrition si elle n’avait pas trouvé cette caverne d’Ali Baba. Il était vrai qu’il n’était pas très sage et aimable de voler le travail d’un aubergiste attentionné, mais son estomac avait parlé avant son esprit, et s’était accaparé toutes ces gourmandises qui lui avaient tant de fois fait envie. Les petits pains au chocolat que la boulangère lui donnait une fois sur deux ne lui suffisaient plus, de plus, ce qu’elle était en train de savourer était plus succulent que tout ce qu’elle avait connu auparavant. Et trop absorbée par sa dégustation matinale, elle fut bien surprise de se faire attraper soudainement par le col. Brusquement soulevée du sol, la personne qui venait de la prendre la main dans le sac remarquerait facilement sa maigreur difficilement dissimulée en dessous d’un manteau large et douillet. Le chapeau et la peluche de la demoiselle tombèrent lourdement sur le sol, tandis que Lulubeth lâcha le morceau de brioche qu’elle était en train d’achever. Les miettes parsemant sa bouche et ornant ses lèvres, elle claqua silencieusement des dents, apeurée et en même temps refroidie par le regard cruel de l’homme qui lui fit face. Il s’agissait probablement du propriétaire dont Killian lui avait parlé, et qui n’était pas réputé pour sa gentillesse. Malgré tout, l’état affamé de la fillette lui inspira visiblement de la pitié, chose que Lulubeth n’avait heureusement pas remarqué, car autrement elle se serait vexé. D’une petite voix tremblante, elle répondit aux menaces de l’homme :

« Mais l’estomac gargouillait depuis des jours, les pains chocolatés de la boulangère ne suffisent plus, alors le chat s’est permis de se servir chez vous. Vos pains sont délicieux ! »

Et elle finit ce petit discours candide par un sourire ravissant, dont le but principal était d’attendrir son interlocuteur. De toute façon, rien de ce qu’elle prétendait était faux, cela faisait desjours qu’elle ne parvenait pas à éradiquer la faim, et son corps faiblissait à mesure qu’elle manquait de carburant pour ses muscles et son petit cœur. Mourir dans de telles conditions était tout simplement impensable pour elle, et soucieuse de ne pas inquiéter Killian, elle préférait se tourner vers les autres et se ravitailler en entrant par effraction chez les gens. Mais maintenant qu’elle était prise la main dans le sac, elle était très soucieuse de son sort, et son organe vital battait la chamade dans sa petite cage thoracique qui gonflait et rapetissait au rythme d’une respiration saccadée par le doute qui s’enticha d’elle. Elle déglutit bruyamment, alors que le silence s’éternisait entre les deux interlocuteurs. Elle battait par moment des pieds alors que le sol n’était plus très loin du plancher, et ses petites mains laiteuses agrippèrent tendrement le s poignets de l’aubergiste. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait plus sentie une telle chaleur. Probablement celle des pains et des brioches qu’il concoctait avec soin pour ses convives. Ce devait être un hôte de qualité, Lulubeth n’en douta pas, et inquiète pour Spinel qui gisait au sol, elle continua de l’implorer de son regard avide de confort.

Elle retrouva finalement le plancher boisé et l’observa étrangement, en train de se raser le menton. Quel moyen drastique pour prendre soin de sa barbe ! Automatiquement, un sourire s’esquissa sur ses pétales de rose et s’élargit, sans moquerie, aucune, seulement un amusement qui la fit rire aux éclats.
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Aymar
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeDim 23 Nov - 3:14

-désolé un peu court ce soir...-

Cette petite toilette m'avais permit de faire le point sur ce petit incident... Déjà je ne pouvais pas laisser partir la petite fille sans que justice ne soit faite et d'un autre côté j'avais de la peine pour cette petite fille elle me rappellais moi enfant au fer pendant trois jours dans la calle du bateau ressortant la faim au ventre ou j'aurais manger n'importe quoi... D'ailleurs je mangé n'importe quoi je me souvient d'une recette de ragout au rat d'abore passer au torchon avec les épices que j'allais volé pendant nos escalles, je les cachais toujours sur moi c'est petit sacs de tissus était a la fois ennivrant d'odeur et mon porte bonheur de l'époque.

Je m'évadais dans mes souvenir pour revenir a la réalité, je décida de donner une leçon éducative au poid plume poser devant moi, on aurait dit une autiste serant son chat entre ses bras.

-"il va falloir trouver une solution petite chose et je crois savoir comment. Tu vas m'aidé a refaire les pains comme ça je t'expliquerai comment les faires... qu'en dis-tu ? par contre je ne veux plus jamais te revoir voler dans ma cuisine sinon je ne serais pas aussi conciliant que aujourd'hui... je t'éxpulserai si fort grace a mon pied droit magique que tu pourra plus poser ton postèrieur un long moment ! Il faut bien que tu comprennes que je suis en colère mais je comprend pourquoi tu as fais ça mais je dois te punir c'est... obligatoir !"

je gardais une sorte de sourire angélique mélanger avec un regard sombre qui perméttait de montrer un contraste et l'hésitaiton pour le choix. pendant que je fixé accroupi a la même auteur que Lulubeth je retiré les poils qui furent resté collé sur la lame de mon couteau; patience....
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeMar 25 Nov - 22:53

Le matin c'était lever en même temps qu'une petite brume, le matin c'était un bien grand mot, quand Guren c'était lever le soleil n'était encore venu éclairer l'ombre de ses rayons et chasser la nuit. Cela faisait quelque jours qu'elle était ici, elle était arrivée un jour de pluie et avait entendu que l'aubergiste cherchait des employer et qu’ils seraient nourrie et loger quoi de mieux pour s'installer dans ce village ! L'homme en question lui avait parut un peu bourru mais au fond elle le sentait très gentil et l'appréciait déjà. Pour ce montrer une employer exemplaire Guren appliquait à la lettre les ordres de son patron avec bonne humeur aimant déjà ce travail. Son patron c'était levé et avait fait des pains sucrés de raisin, fleur d'oranger qui mis l'eau à la bouche de la jeune femme mais pas question d'y toucher c'était pour les clients. Alors qu'elle commençait à mettre le service en place dans la cuisine elle entendit un bruit, ayant l'ouie très fine, plus que l'anormal elle entendit une respiration faible puis des paroles qui montrait bien la voix d'une petite fille affamée elle décida de ce mettre en retrait pour voir la jeune fille arrivée en cuisine et commencer à dévorer les petits pains certes elle aurait du lui interdire mais cette petite la semblait avoir très faim, et semblait un peu maigre. Guren étant une servante de dieu et n'était pas enclin à la privée de nourriture et préféra fermer les yeux. Malheureusement son patron Aymar arriva et prit la petite sur le faite, Guren fronça les sourcils, la petite avait été décoller du sol par la force de son patron et lui expliqua les choses, Guren fut heureuse que la petite s'en tirait juste par un travail forcée, c'es à ce moment qu'elle intervenu comme si de rien n'était et alla vers Aymar :

" Bien le bonjour patron ^^ "

Guren ce tourna alors ver la petit et s'agenouilla pour être à sa hauteur un sourire chaleureux aux lèvres :

" Bonjour toi, comme tu est mignonne ^^ comment t'appelle tu ? Moi c'est Guren ^^ j'ai entendu que tu doit faire des petits pains ? Si tu veux je peux t'aider, ce sera plus facile...avec votre permission chef "

Guren regarda Aymar en disant ses dernières paroles puis la jeune fille et lui caressa les cheveux en un geste de tendre. Qui pourrait croire que Guren était une bête qui avait fait couler le sang des créatures et des hommes ? Personne en vérité car ce n'était pas sa nature première. Guren remarqua le chapeau et le chat part, elle prie le chapeau et le remis sur la tête de la petite fille et lui tendit son chat en peluche.
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeDim 30 Nov - 13:14

[Nyahaha ! Du people en plus ! =D ]

L'arrivée d'Aymar avait légèrement coupé l'appétit de la demoiselle, d'autant plus que malgré un sourire angélique, il dégageait une part d'obscurité qui n'annonçait rien de bon au yeux de Lulubeth. Après que ce dernier ait achevé de tester sa force en la soulevant par la col, la blondinette candide et affamée, dont l'apparence famélique trahissait sa pauvreté, reprit en main sa peluche en forme de chat. Elle la serra affectueusement contre elle, comme pour se rassurer. Elle caressait la tête de Spinel à l'aide de gestes circulaires, l'imaginant en train de ronronner si il était un jour animé, gâce à une quelconque magie. C'était de ça dont elle avait besoin, d'un peu de compagnie et de gaieté pour éradiquer cette faim qui la tiraillait, et cette peur qui taraudait son esprit de petite fille. En entendant la proposition fortement intéressante de l'aubergiste, Lulubeth fut tentée de partir en courant, détestant se mettre à l'ouvrage. Elle préférait que ce soit les autres qui cuisinent à sa place, ainsi, il ne lui restait plus qu'à se goinfrer comme ce n'était pas permis, remplissant sa panse jusqu'à ce que cette dernière puisse éclater. Nerveusement, elle mordilla de nouveau l'oreille de son chat en peluche, et observa curieusement Aymar qui s'obstinait à lui sourire, s'efforçant probablement de la rassurer. Lorsqu'il eut fini d'énoncer son marché, elle se contenta d'hausser les épaules, se demandant ce que cela lui apporterait étant donné qu'après cela, elle se retrouverait fatalement à la rue.

Cependant, alors qu'elle ne savait pas quoi répondre, une autre personne entra en scène. Son visage n'inspirait que bonté et libéralité. Ah ! Une présence féminine ! Voilà qui eut le don d'apaiser Lulu dont le rythme cardiaque redevint normal, malgré son altercation avec Aymar qui aurait pu se passer plus dangereusement. Elle détourna ses yeux nebuleux en direction de cette femme qui semblait travailler ici, dans cette auberge. Après avoir salué généreusement son patron, elle s'agenouilla délicatement en face d'elle et lui fit ses salutations, se présentant aimablement sous le nom de Guren. Etrangement, aucune barrière de méfiance ne fut érigée par la petite princesse à la chevelure dorée qui se sentit très à l'aise en sa compagnie, et rougit en surprenant ses doigts écarter avec délicatesse les mèches de ses cheveux. Alors qu'en l'apercevant, un sursaut s'était emparé de son corps et lui avait fait de nouveau lâcher sa peluche, Guren eut la gentillesse de la ramasser à sa place et de lui tendre, tout en déposant son chapeau haut-de-forme sur son crâne.



" Je m'appelle Lulubeth ! Et lui c'est Spinel ! " fit-elle en désignant la peluche.

Lulu s'accapara doucement Spinel et remercia Guren d'un hochement de tête très timide, puis, après mûre réflexion, elle avoua préférer cuisiner en la charitable compagnie de cet ange, plutôt que de rester à l'extérieur, dans le froid hivernal.

" Le Chat veut bien se racheter en confectionnant des petits pains. Mais qu'avec Guren ! Le Chat exige ! "

Un sourire mi-espiègle, mi-attendrissant fendit les lèvres couleur chair de la pauvrette, dont les sourcils semblèrent se arquer sous l'effet d'un chagrin accumulé sur un long terme. Tout ce qu'elle avait désiré depuis si longtemps, elle était en train de l'effleurer du bout des doigts. Pour une fois, elle était restée plus de dix minutes dans un édifice douillet, chaleureux, où le crépitement des flammes dans la cheminée, lui évoquait le confort dont elle n'avait jamais bénéficié.
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeDim 30 Nov - 15:37

Guren était arrivé un petit peu en retard ce qui fut la première fois depuis que je l'avais embocher, travailleuse de bonne humeur c'était une employer qui remplisssait beaucoup de qualité a mon gout, mais avec les employer il ne faut pas trop se montrer admiratif il perderait en ryhtme de travail...

-"Bonjour, Vous ètes un peu en retard Guren enfin bon regarder on a un enfant qui va avoir soif d'apprendre..."

Malgré tout l'arrivé de Guren détendus un peu l'atmosphère, la petite fille parut plus confiante envers mon employer a mon grand plaisir elle désirait aussi faire la cuisine avec. Je pourrait ainsi me replonger dans un livre vite fait avant le service... Non ne pas se divertir il va falloir ratrapper le carnage gustatif de Lulubeth.

" Le Chat veut bien se racheter en confectionnant des petits pains. Mais qu'avec Guren ! Le Chat exige ! "

-"Parfait guren vous vous occupez de lulubeth vous lui apprennez a faire les pains, vous l'aider, vous faites ça vite et bien car on a prit du retard, vous lui donnez les restes de hier qui doivent trainer dans le selliers réchauffer les pour qu'elle mange quelque chose de chaud et vous la remettez dehors après ça vous pourrez prendre une pose et si vous le souhaitez allé a ma bibliothèque lire un livre, je prendrai le relais... Bon au travail tout le monde je suis en salle si besoin !"

Alors que je me dirigeais vers la porte je marquais un arret.. sui-je stupide ! je retrouna sur mes pas attrapa le livre de cuisine l'ouvrit a la bonne page et le posa devant Guren et Lulubeth.

-"désolé je les connais par coeur donc c'est évident pour moi enfin bon, voila..."


-ordre lulu aymar guren-
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeMer 3 Déc - 19:08

Oui, Guren était effectivement un peu en retard enfin, c'est ce que croyait son patron, mais Guren était depuis plus longtemps la seulement si elle le disait, elle devait alors dévoiler pourquoi elle avait fait exprès d'arriver e retard, et la son patron serait beaucoup plus contrarier.

" Oui, et je m'en excuse je promets de ne plus recommencer "

L'enfant en question, était une jeune fille au visage innocent, un peu maigre qui la rendait si fragile, cela touchait Guren mais elle s'intéressait au caractère peu ordinaire de la jeune fille ayant écouter leur intercalation jusqu' a l'intervention de Guren. La petite fille s'appelait ainsi Lulubeth et sa petite peluche en forme de chat ce nommait Spinel.

" Bienvenu a toi alors ^^ et enchanter de connaître Spinel ^^"

Guren lui sourit joyeusement, et serra entre ses doigts la patte avant de Spinel et la secoua doucement comme un bonjour, vraiment cette petite fille avait le don de réveiller en elle ses instincts maternelle, voulant la protéger, lui donner la tendresse qu'elle avait, Lulubeth voulait ce racheter mais qu'en compagnie de Guren, ce qui lui fit plaisir. Aymar lui donna les directives à suivre mais elle fut peiner de devoir remettre à la rue sa jeune protéger une fois remplie sa tâche, même avec un repas chaud dans le ventre, elle était réticente à laisser dans ce froid. Guren vit son sourire mais aussi ce chagrin, la petite devait ne jamais avoir connu à foyer chaleureux, elle au moins l'avait connu même si ce n'était plus qu'un souvenir lointain dont elle avait perdu les sensations et le goût. Aymar revenu sur se spas pour leur donner le livre de cuisine, Guren sourit et dit :

" En effet, c'est plus pratique ^^ "

Une fois son patron partit, Guren installa tout les ingrédients sur une table, mis un tabouret et doucement mis Lulubeth dessus pour qu'elle soit à la bonne hauteur.

" Bon, alors puisque mon patron veux que cela soit vite et bien fait on va ce partager les tâches, je vais peser les ingrédients et faire la pâte de départ, tu n'aura qu'a me passer tour à tour les ingrédients que je te demanderai et qui son sur cette table, ensuite tu m’aidera à pétrir la pâte, tu n'aura qu'a me regarder faire et on leur donnera leur forme et leur parfum et n'y aura plus qu'a enfourner^^ après notre travail, je te cuisinerai les restes pour que tu puisse te régaler cela te contient-il ? ^^ "

Guren caressa les cheveux de Lulubeth et lui mis un tablier, et s'étira une dernière fois détendre tout ses muscles, prête à ce mettre au travailla avec l'aide de Lulubeth. Guren commença alors à faire la pâte, demandant différents ingrédients, espérant que sa petite protégée ne serait pas trop perdue pour effectuer ses mouvements.
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeVen 5 Déc - 21:21

Lulubeth fut attentive à tout ce qui pouvait se dire sur son compte. Le marché lui convenait, mais un petit détail la chiffonna tout comme Guren. Après qu’elle ne ce soit rachetée, elle devrait absolument retourner dans ces tristes rues qu’elle maudissait, parce qu’elles étaient froides et insalubres, de vrais coupe-gorge où elle avait plusieurs fois échappé à des rencontres inopportunes. Se mordillant la lèvre inférieure, les sourcils de la fillette s’arquèrent de sorte que sa tristesse apparaissait distinctement sur son faciès.

Pendant ce temps, Aymar continuait de distribuer les directives au membre du personnel sous la tutelle de qui Lulu se trouvait. La demoiselle aux cheveux dorés suivit l’homme barbu du regard, l’exécrant de l’éjecter ainsi de ces lieux si confortables et douillets. Elle ne voulait plus les quitter maintenant qu’elle les avait marqué de sa présence candide. Ne pouvait-elle donc pas lui demander un poste au sein de l’auberge ? Certes, peut-être n’accepterait-il pas de faire travailler une enfant, sauf qu’à présent, c’était ce qu’elle s’apprêtait à faire. Elle voulut l’interpeller de sa voix fluette, lorsque les mains de Guren agrippèrent sa taille pour la disposer sur une chaise. Elle fut à hauteur égale de la table de travail où elle devrait passer les ingrédients à la boulangère perfectionniste. Celle-ci était rassurante, douce et affable, contrairement à son employeur qui était froid, rigide et asocial. Déposant Spinel entre ses jambes, Lulubeth ne tarda pas à être vêtue d’un ravissant tablier comportant des dentelles roses à ses extrémités. La petite fille s’était débarrassée de son manteau, trop encombrant pour un tel ouvrage. Une robe en haillon et d’une couleur triste enveloppait un corps beaucoup plus famélique que ce que pouvait laisser présager l’ensemble de son accoutrement. En retroussant les manches de son vêtement, les coudes malingres de la fillette apparurent aussi blancs que neige. La pâleur de sa peau trahissait l’inanition dont son corps était continuellement la proie. Le froid et les nombreuses contraintes de la pauvreté avaient trouvé une cible idéale en Lulubeth, autrefois connue sous l’identité de Lucile Wickedness.
Consciencieusement, elle écouta les injonctions de Guren, qui lui ordonna tantôt de lui passer le rouleau pour aplatir la pâte, tandis qu’elle se servait ensuite de ses doigts délicats et longilignes pour donner forme aux petits pains. La fillette la regarda faire d’un air pensif et quelque peu distrait. Quelques fois, ses yeux se dirigeaient vers l’extérieur, alors qu’une fenêtre à carreau laissait voir le soleil apparaître lentement mais sûrement de derrière les montagnes avoisinantes. Lulubeth émit un soupir audible, preuve de son désarroi. Un nouveau jour d’ennui et d’épreuves s’annonçait comme un enfer qui prendrait forme, à mesure que les rayons ensoleillés surplombaient le monde entier. La chevelure de Lulu brilla de mille feux, tandis que la cuisine devint de plus en plus éclairée. Bientôt, les cierges ainsi que le crépitement des flammes dans la cheminée s’éteindraient, faisant place à l’effervescence des clients qui ne tarderaient pas à se lever.

Alors que Guren s’attelait méticuleusement à sa besogne, l’orpheline l’interpella d’une voix douce et timide. Elle paraissait légèrement harassée par un tel travail de concentration, mais elle avait encore la force de poser une question qui lui brûlait les lèvres. La jeune femme sembla lui annoncer implicitement qu’elle l’écoutait. Après quoi la princesse en haillons prévit de lui soumettre son interrogation, ses mains empoignant fermement le tissu poussiéreux de sa robe.


« Dites Guren ! Comptez-vous réellement me remettre dans la rue après ça ? Enfin, je veux dire, après que je vous ai aidé pour faire vos petits pains et vos brioches… »

L’intention de l’enfant n’était pas de s’attirer la pitié de son interlocutrice. Elle avait juste envie de comprendre pourquoi est-ce qu’on la rejetait quoiqu’il arrive, quand bien même si elle se portait volontaire pour mettre sa main à la patte. Après tout, elle aurait pu s’enfuir comme une voleuse grâce à son agilité et à sa maigreur qui l’aurait peut-être aidé à passer à travers les filets d’Aymar. Mais elle ne l’avait pas fait, parce qu’elle avait accepté son expiation comme convenu. Elle n’était pas d’un naturel rebelle quand on y pensait, sauf lorsque Killian n’était pas loin et qu’il l’entraînait dans des aventures plus palpitantes que jamais. Son prince charmant aux yeux nébuleux et océaniques, aux airs héroïques et charmeurs pouvaient la conduire jusqu’au bout du monde qu’elle ne dirait rien, qu’elle se laisserait faire volontiers. Il avait une influence totale sur elle, une influence que l’on appelait aussi l’amour.

En attendant, l’aîné des contrariétés du petit soleil ingénu était de savoir si son sort était réellement tout tracé. Elle ne voulait pas affronter de nouveau les regards mesquins et méfiants des autres villageois. Pour une fois qu’on l’avait traité avec magnanimité, elle ne voulait pas laisser passer cette occasion d’être intégrée quelque part. Elle avait conscience de la considération de Guren, et lui demanda implicitement d’y faire appel pour entendre son message de détresse.

« En fait, le Chat aime bien la cuisine et peut-être pourrait-il se rendre utile tout en apprenant ? Le Chat ne veut pas retourner dans ces rues froides, ou dans cette église qui est son unique maison ! »

Puis, laissant un souffle d’exaspération trouver une échappatoire entre ses lèvres craquelées, elle employa la première personne du singulier afin de ne plus se cacher derrière ce « Chat » inerte, qui tuait ses peurs et son ennui.

« Je n’ai vraiment plus envie d’y retourner. »

Elle tordit ses mains dans un élan de nervosité, persuadée que sa proposition serait objectée. Même si Guren acceptait, rien ne disait qu’Aymar serait d’accord pour accueillir cette gueuse qui s’était délibérément servie dans son stock de pain. Au fond, elle ne méritait pas une telle faveur, mais elle voulait juste élire domicile une bonne fois pour toute, et se trouvait une famille qui la chérirait et qu’elle aimerait en retour.
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeLun 8 Déc - 1:00

La tristesse de la jeune fille aux cheveux doré donnait assez bien la preuve de sa détresse dans ses rues, ou la solitude était sa seule amie...comme elle semblait ce revoir en cette petite fille ! Jamais avoir de domicile fixe, toujours fuir que ce soit sous un soleil ardent, sous la pluie mordante, sous le froid pénétrant. Elle avait toujours errer alors voir la petite fille remis à la rue alors qu'elle avait le pouvoir de donner à cette petite fille, ce qui lui avait tant manquer de plus, sans ce le dire vraiment Guren prenait déjà cette petite pour sa petite soeur voir son enfant, elle qui n'en aurait jamais...voyait un espoir dans cette petite fille maigre qui l'avait charmer et émue des le premier instant. Guren découvrit la robe usée et pleine de poussière accumulé à cause des endroits sordide ou Lulubeth devait fréquenter, cela en disait long sur la vie de la petite, de ce qu'elle devait vivre au quotidien, elle ce surprit à croire qu'elle avait eu plus de chance, à cause de la bête qui l'avait protéger. En retroussant ses manches, Guren put voir que sa petite protéger ne devait pas manger tout les jour à sa faim, sa peau était d'une pâleur qui faisait peur, prouvant qu'elle devait manquer de toute les vitamines et aliments nutritif qu'avait besoin son corps. Guren caressa la joue de Lulubeth en un signe tendre, non de pitié seulement d'un amour qui ne voulait que s'exprimer.

La petite fille ce révéla une élève consciencieuse et attentive malgré qu'elle semblait plongée dans une intense réflexion qui lui faisait un regard vague et pensif, Guren ce demandait à quoi elle pouvait penser. Guren tout en préparant les petites pains, leur donner leur forme et les mettre sur la plaque qui irait au fours pensait à ce que son patron avait dit, elle n'avait vraiment pas le coeur à la remettre dans la rue, une idée germa en elle espérant que cela marche auprès de son patron. Le soleil enfin ce levait montrant de sa puissance, ses rayons de lumière qui chassait partout l'ombre qui ce terrait dans des endroits que personne ne voulait aller. Sa petite protéger ce mis alors à parler, avec appréhension la petite voulait rester, Guren le compris très vite, même après les paroles progressive de Lulubeth qui montrait de plus en plus sa détresse, sa tristesse, son espoir aussi de trouver un foyer enfin, loin de cette église glacée. Guren sourit et mis la plaque au four et frotta ses mains pour enlever la farine qui y restait collé, puis revint près de la petite fille qui attendait sa réponse avec nervosité :

" Je n'avais pas l'intention de te remettre dehors en vérité, je voudrais que tu reste ici, je te propose un marché, tu reste à deux condition, d'une tu me tutoie ^^ et de deux tu deviens mon assistante ainsi on pourra aller beaucoup plus vite et faire plus de travail ensemble, mon patron ne pourra pas refuser et quand bien même il refuse je te loge dans ma chambre même si pour cela il doit m'amputer d’une part de mon salaire...je veux vraiment que tu reste car je me suis attacher à toi depuis que je t'es vu manger comme un ogre les pains de mon patron ^^ comprends que ce n'est pas de la pitié, seulement tu me fais penser à une douce petite soeur, une petite fille que je veux protéger, moi qui n'aura s'en doute jamais d'enfant, je vois en toi cette espoir...mais peu être suis je trop présomptueuse, excuse mon élan peu être étouffant pour toi "

Guren caressa les cheveux de Lulubeth d'un geste tendre, puis continua les petits pains, les enfournant et sortait les autres chaud pour les mettre dans la corbeille et enfourna d'autre avec l'aide de sa jeune protéger. Puis s'étira :

" On à presque finit, je vais demander au patron son accords pour que tu reste ici, continue de pétrir la pâte et attend moi "

Guren, sortit de la cuisine d'un pas tranquille et chercha son patron dans la salle, certains client lever la détailla avec un sourire pas mécontent que l'aubergiste est engager une jeune fille. Guren ne fit pas attention et repéra Aymar avec un livre à la main comme à son habitude et alla vers lui :

" Patron, nous avons presque finit, je voudrais vous demander une requête, je sais que je suis osée et insolente dans ma démarche mais je ne peu pas me taire. Voila j'aimerai que la petite Lulubeth reste avec nous, je ne vous demande pas de la nourrir ou de la loger, elle partagea mon lit et je la nourrirait sur ma nourriture et mon salaire mais s'il vous plait, ne la remettez pas dehors, accepter qu'elle reste...elle sera mon aide, nous iront plus vite, elle apprend vite et fait bien, s'il vous plait, si jamais elle vous déplait j'en prend l'entière responsabilité "

Aymar pourrait croire que Guren était trop sensible, pour ainsi montrer tant ferveur à vouloir garder cette fille ici, après tout n'était elle pas une servante de dieu ? Si son patron la regardait dans les yeux, il pouvait voir une conviction déterminer, mais aussi une lueur d'espérance dans le regard.
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Aymar
Aubergiste - Créature

Aymar

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Origine : Dans l'auberge en général
Camp : créature maléfique / villageaois


Fiche personnage
Relations:
Capacités: métamorphose en serviteur de l'ombre

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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeLun 8 Déc - 19:13

Le service en place les clients servit je parcourais a droite a gauche afin que tout soit prèt... Les pains allé prendre un peu de retard mais bon, je faisais confience en l'éfficacité de Guren. Une fois tout en place je prennais ma pause habituel je grimpé en haut de l'auberge percher sous les combles ma chambre avec une vue resplendissante. J'avais amménagé ma chambre en haut quand j'ai repris l'auberge j'avais même posé une fenêtre pour avoir ma vue matinnale du soleil se levant sur les montagnes lointainnes ou les sommet étaient blanchit par les dernière neiges. les rayons apparéssaient un par un pour voir enfin cette boule de feu ardente pointé le bout de son nez, je sentis ces rayons me réchauffer le visage; tout en fermant les yeux je profité de cette courte et savoureuse pause que je m'accordé tout les jours sans aucun prétexte. Je fermais la fenêtre et repris mon livre du moment, un receuil de méditation où un moine avait retranscrit son voyage en Inde et ses observation sur la culture boudiste fort interréssant pour se ménager et ne pas s'enerver... rester calme.

Je redécendit dans la salle allumer quelques bougits les clients commencer a se réveiller, il y avait des bruits de pas des paroles. c'était une sorte de boudonnement matinnal ou les voyageur ranger leur chambres pour reprendre la route, les éxorcistes se préparer a leur chasse habituel je m'assis dans mon fauteuil coincé dérrière le comptoir pour lire mon livre ma bougie à côté et un verre de remontant pour le coup de fouet avant le service. Alors que tout le monde prennait place je vis Guren Arriver, elle me fit le rapport sur le futurl'accomplissement de sa tâche dans les temps. Je lui fis un sourire pour lui montrer ma satisfaction mais aussi un silencieu compliment de son éfficacitées. Puis elle m'expliqua sa volonté de garder Lulubeth avec elle comme une sorte d'apprentis. je retira de suite mon sourire et plissa les yeux, bref mon visage habitel lors d'une reflexion. Alors que Guren avait un regard implorant une réponse généreuse de ma part...

-"écouter Guren déjà vous ètes direct, c'est bien. Mais j'ai peur que si on acceuil une petite fille de la rue tout les autres enfants qui trainnent dans les rues veuillent souhaiter trouver refuge devant votre générosité..." Je fis un silence le doigt lever vers le plafond en signe d'interdiction de parler. "Je vais dire oui mais si vous ralentissé dans votre travail ou que Lulubeth nous apporte un quelqu'onque ennuits je la met déhors. j'accepte les conditions fixé pas de salaire en plus sauf si il s'avère que Lulubeth fait une charge de travail digne de se nom je réviserai les conditions pour peut être un salaire, voire un logit a l'auberge. mettais la au courant des règle comme je vous les avez précisé a votre entré ici, mais soyez ferme tout de même je veux pas de canard boiteux dans mon auberge !"

Je sentais sans raisons trop valable que je faisais une érreur, non pas que je pouvais en tirer que des bénéfices de ce contract mais comme si j'avais déclanché un engrennage grinceux et sanglant dans ma tête...
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MessageSujet: Re: L'appel de l'estomac | libre |   L'appel de l'estomac | libre | Icon_minitimeMar 9 Déc - 22:23

Bien que Lulubeth s’attendait à une réponse quelconque, elle n’aurait jamais cru qu’une personne puisse se prendre d’affection pour elle. Guren lui avoua qu’elle avait craqué sur cette petite fille, qu’elle avait surprise en train de taper dans la réserve de pains confectionnés pour les clients de l’auberge. En surprenant un ton doux et affectueux dans la voix de son interlocutrice, Lulu ne put s’empêcher de rougir, intimidée par cet amour qu’elle n’avait jamais connu. Un amour maternel mais aussi fraternel, tellement confus qu’elle en déborda de joie. Cependant, elle ne laissa pas éclater son enthousiasme au grand jour, trop incertaine de la manière dont Aymar allait interpréter la situation, lorsque son employée lui demanderait si elle pouvait garder la fillette à ses côtés. Lorsque Guren fit cette proposition à Lulubeth, la pauvrette n’en crut pas ses oreilles, et se surprit à ouvrir des yeux aussi grands que des boules de pétanque. Sa stupeur était à armes égales avec cette solitude qui la traquait chaque jour. Jusqu’à présent, elle n’avait reçu que des injures en guise d’accueil lorsqu’elle essayait de s’inviter chez les gens. Chose évidente, puisque la fillette n’y allait jamais par quatre chemins. Mais le fait que quelqu’un ai su prendre sa détresse avec tendresse, sans que la pitié n’ai quelque chose à voir là dedans, la toucha profondément.

Trop émue, lorsqu’elle voulut remercier Guren, ce ne fut qu’un petit son presque inaudible qui sortit de sa bouche. Elle était tout simplement subjuguée par ce bonheur qui frappait soudainement à sa porte. Même si rien n’était gagné, surtout en la personne d’Aymar, elle s’était au moins trouvé une amie sur qui compter. Cette jouvencelle était la grande sœur qu’elle n’avait jamais eu, et qu’elle avait toujours rêvé d’avoir, en plus d’avoir trouvé un prince charmant chez un dénommé Killian. Cependant, un détail la chiffonna. En effet, elle ne voulait pas que la charmante demoiselle pâtisse de la présence de Lulu. Si son salaire devenait insignifiant à cause d’elle, ce serait une responsabilité en plus pour l’enfant, et elle ne pourrait pas assumer une telle charge. Mais ce qui était dit, était dit ! D’autant plus qu’elle n’eut pas tôt fait de réaliser, que Guren s’en alla soumettre sa demande à Aymar. Avant ça, elle pria sa nouvelle assistante de poursuivre le travail de la pâte. Ainsi, ce fut de ses mains fébriles mais expertes que la gnome se mit à pétrir, pétrir jusqu’à ce que le verdict suffise à la faire trépigner de joie.

Comme tout le monde s’en doute, sa curiosité l’avait incité à écouter aux portes, ses mains pleines de farine, tout comme le bout de son nez qu’elle avait peinturluré par inadvertance. Un œil océanique pouvait entrapercevoir la scène, non loin de la cuisine où Lulubeth avait redécouvert une passion. Le dialogue entre Aymar et Guren semblait aller de bon train, et prenant le risque de mettre ses deux pieds hors de la pièce, Lulu surprit ledit verdict. Sans se préoccuper des éventuelles conditions, elle accourut en direction de l’homme barbu. Elle entoura difficilement son corps de ses deux bras menus. L’homme n’allait probablement pas apprécier cet élan d’amour exacerbé, mais une chose était sûre : la sincérité était bel et bien là.


« Merci Monsieur ! Le Chat vous en sera éternellement reconnaissant, et pour se faire, le Chat sera un bon employé ! »

Pour preuve, elle montra ses mains toutes pleines de farine qu’elle considérait comme un trophée. Il s’agissait aussi d’un nouveau départ pour cet enfant, qui n’avait rien connu d’autre que la froideur des rues. Finies les nuits pénibles passées dans l’église, à craindre l’arrivée d’une personne pas très nette d’esprit ! Adieu les longs périples parmi les rues de ce village qu’elle méprisait tant, et dont les habitants lui rendaient très bien son insolence ! Pour l’instant, elle avait un foyer, et elle avait tout intérêt à s’armer de rigueur pour suivre le rythme et contenter son nouveau patron. Quand elle raconterait ça à Killian, il serait probablement content ! Sauf qu’elle avait entendu parler de ses aventures peu réjouissantes en la présence d’Aymar, qui se révélait être un homme peu commode. Malgré tout, il n’était pas sourd aux demandes de Guren. Même si il ne devait pas porter Lulubeth dans son cœur, il avait la magnanimité de lui donner une chance, et ça, ce n’était pas négligeable !

Pour l’heure, il fallait encore s’occuper des clients…ce qui ne serait pas une mince affaire. Et vue l’excitation de Lulu, Aymar ne tarderait peut-être pas à regretter la décision qu’il avait prise. A moins que ce ne fusse le contraire ? L’Avenir nous le dira !
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