Elle est arrivée.

Invité

Les sabots résonnent sur les pavés, cadencés par une allure pressée et accompagnée de long essoufflements asthmatique , dut a une longue course effrénée. Mais cette musique organique est couvert par un orage coléreux, assombrissant le ciel plus qu'il ne devrait être, jouant par une quelconque mécanique atmosphérique un incroyable capharnaüm; vibrant par cette occasion l'air devenant fébrile. Le sol muré de ses pavés ne craint rien de cette pluie qui transforme ses gouttes en carreaux, martelant toutes chaires à découvert. L'équidé ralentit le pas, sous un abris de bois qui l'accueille avec foin et paille sèche, une ombre alors en profite pour se glisser de son dos et l'attacher fermement à la barrière pour se diriger vers l'unique bâtiment encore ouvert à cette heure : la Taverne. Ou l'auberge. Qu'importe.
Poussant l'humble porte de bois, ayant sûrement vécut des temps belliqueux, l'inconnue relève le capuchon lui tombant sur son visage pour y révéler un minois plutôt doux, encadré par de longs cheveux noirs sales, et invoquer en ce lieu des commérages dut à son œil sanglant. Mais elle n'y prête guère attention, habituée depuis son enfance. Son premier réflexe, comme instinctif, est de se rendre au bar dans le but de réchauffer son gosier par quelques liqueurs alcoolisés. Levant le coude trop facilement malgré sa fatigue marquée, sous les yeux du jeune serveur ébahit de voir une telle entité, et tenant l'alcool plutôt bien. Cela la requinque d'un coup, oubliant pour un peu la fatigue et allégeant son cœur par la même occasion. Elle se déplace alors du bar pour se mettre à une table près du feu, tâtant sa bourse pour savoir s'il serait bon de dépenser maintenant pour un bon repas ou d'économiser en vue d'un travail non trouvé. Finalement, elle se lâche sur un bon plat du jour et se détend en attendant d'être servit. Elle en profite alors pour détaillé le lieu, et ses habitués. Une jolie auberge, à ça oui ! Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas mit un pied dans un lieu chaleureux, où les chaises et tabourets n'étaient pas rongeaient par les mites, où les tables n'étaient pas bancales, le parquet n'était pas piégés par des trous grossièrement masqués sous des tissus, et où saleté et odeur infect n'emplissaient pas la salle. Tout semblait tenir debout, l'odeur de pluie imprégnait tout juste l'endroit et une propreté correct s'y tenait. Même les clients semblaient amicaux. Pas d'air d'assassins, pas de méfiance exagérée, ni même une grosse armoire à glace émoussant ses lames, cherchant consciencieusement dans la salle une victime. Seulement deux bons amis riant au bar, un petit conteur égaré près du feu, racontant quelques histoires, et des joueurs de cartes se défiant d'un regard. Tout cette qualité de vie, si belle, si blanchie, donnait une désagréable impression d'être décalé, de trop, dans ce lieu. Ce n'était pas pour elle, et elle le savait parfaitement. Néanmoins, pour l'instant, elle profite de la chaleur bienfaisante, elle profitera également du repas, et des lits disponibles. Demain est un autre jour, demain sera le début de tout. Un nouvel enfant pour le village ,et bien plus sûrement.

[Bon c'est court et c'est pas très détaillé. Même que ce n'est pas super bien fait. M'enfin, j'espère que l'écriture ne vous gênera pas trop ._.]

-Bon Bah je répond puisque personne ne le fait et que c'est chez moi... désolé c'est du rapide mal fait-

Il en fallait du temps pour recevoir un livre ici, passer par le clergé d'une grande ville comme Albion, puis qu'il soit re-approuver par le clerger ici, je me débrouillais finalement avec les voleur du coin pour avoir des livres, cette sombre période ne permettait pas l'ouverture d'esprit. Ha enfin ce livre tant attandut de ce moine qui partie dans mon pays nordique pour faire un rapport sur le polytheïsme et son absurdité, mais il avait détaillé la partie sur le dieu Yngvi et cela devanait fort instructeur.

Alors que d'un pas lourd qui soulevait la poussière, je sentais que la chaleur écrasante allé rendre la nuit désagréable. Avec regret je penser a cet hiver bien froid bien rude, comme je les ai toujours aimer et comme tout les viking savent les apprécier... Je passais par la porte de dérrière pour voir comment ça se passais en cuisine, deux trois ordre rapide pour remmettre de l'ardeur au travail, quelques compliment pour l'estime de l'emplyé et tout reparté a grande allure, je me mit a scruter ma salle calme, le diner allé bientôt être servie, pas de turbulence... Seulement mon serveur qui avait peur de servir une jeune fille au fond de la salle prèt de la cheminé, ce trouillard avait peur de tout... Je prit l'assiiète pour la porter a la jeune fille, c'est vraie, il y avais quelque chose, un je ne sais quoi qui la randais mystèrieuse ou effrayante ou encore étrange. Je m'assid en face d'elle me laissant tomber de toute ma fatigue mon livre devant moi sur la table. Je regardé ses yeux un petit moment et après ce silence...

-"Il est facile de voir qui vient d'arriver dans ce village... Ou qui n'en ai pas. Vous venez cherhcer la gloire en tuant du démon ou du fantôme ? Non vous avez l'allure d'une maraudeuse... Que faites vous ici ?"

Je sentais ma voix devenir caverneuse je ravala ma salive comme si ça allé passer. D'un signe de main un serveur m'ammena un verre et un pichet de vin, je la servie, puis rempli mon verre pour le boire aussitôt